Imaginez rouler pendant 500 km sur une piste sablonneuse, sous un soleil de plomb. Aucune station radio captée dans le poste ni de réseau téléphonique disponible. Mises à part quelques bestioles, pas une seule âme qui vive à l’horizon… Bienvenus, vous êtes en Namibie?! Ce portrait peu engageant pourrait en effrayer certains et pourtant ce pays est un des joyaux de l’Afrique australe pour plusieurs raisons dont je vous parle dans cet article.

Namib-Namibie-blog-bar-a-voyages

Paysage du désert de Namib

La Namibie est un pays sûr et accueillant

Tout d’abord quelques dates et chiffres pour planter le décor. Ancienne colonie allemande jusqu’en 1920, puis devenue une province de l’Afrique du Sud, la Namibie n’a acquis son indépendance qu’en 1990. Malgré sa « jeunesse », ce pays est aujourd’hui stable politiquement. Économiquement parlant, c’est l’une des nations les plus riches du continent africain. Côté santé, il n’y a pas de maladies particulières (en dehors de celles connues aussi chez nous) et le pays est extrêmement propre. Et puis on ne subit quasiment pas de jet lag (seulement 1h de décalage avec la France) ce qui garantit un certain confort de voyage en plus d’un bon niveau de sécurité.

route-namibie-blog-bar-a-voyages

Aucun touriste à l’horizon !

Avec une superficie de 825 418 km2 et un peu plus de 2 millions d’habitants (soit l’équivalent de la population parisienne intramuros… Non, vous ne rêvez pas !), la Namibie offre la densité la plus faible du continent africain. Le pays se classe aussi au deuxième rang mondial en terme de faible densité. Ici c’est le calme absolu. Pas de tourisme de masse ! Autant dire que vous ne rencontrerez pas beaucoup de monde, surtout en dehors des villes où il peut se passer une journée sans que vous ne croisiez personne ! C’est peut-être ce qui explique pourquoi les Namibiens sont extrêmement accueillants et polis. Souriants et curieux, ils s’intéressent à vous et apprécient en retour qu’on les interroge sur leurs traditions ou leurs habitudes. On vous saluera facilement par un « howzit ? » (comment çà va?) mais les salutations prennent parfois beaucoup plus de temps avec un rituel élaboré pour se serrer la main. Il est extrêmement important de saluer tout le monde car les Namibiens y attachent une grande importance. Sur la route, il est d’ailleurs de coutume de se dire bonjour avec des appels de phares lorsque l’on croise un autre véhicule.

Film Namibie - blog Bar a Voyages

Extrait du film Les Dieux Sont Tombés Sur La Tête ©Telerama

Lors de votre séjour, vous aurez probablement l’occasion de rencontrer différentes ethnies qui forment la population namibienne. L’une d’entre elles, les San, compose l’un des peuples originels dont descendent les êtres humains.

Vous avez sûrement déjà entendu parler de ce peuple, grâce à un film des années 80 : Les Dieux Sont Tombés sur la Tête. Souvenez-vous de cette bouteille de Coca-Cola jetée par le passager d’un petit coucou qui tombe au milieu d’une tribu de San. Ce peuple, également appelé Bushmen, est présent dans plusieurs pays de cette partie de l’Afrique et compte près de 27 000 personnes en Namibie. Il est connu pour sa langue à base de clics, également utilisée dans les dialectes des peuples Damara, Hottentot et Nama. Le son du clic est reproduit à l’écrit par un point d’exclamation ou un slash lorsqu’il y a plusieurs clics à la suite. C’est un clic glottal que nous, étrangers, avons du mal à reproduire dans une phrase composée de sons tels que nous les connaissons, mais vous pourrez toujours vous y essayer. 🙂

Desert-Namib-Namibie-blog-bar-a-voyages

Avec ses 2 000 km de long et 100 km de large, le Namib compte les plus hautes dunes du monde

Le berceau du plus vieux désert du monde

La Namibie est le pays le plus sec au sud du Sahara. Pas étonnant qu’on y trouve un désert : le Namib, le plus vieux du monde. Celui-ci, de plus de 100 millions d’années d’existence, a donné son nom au pays et signifie « pays où il n’y a rien ». Ce n’est pas tout à fait vrai car s’il y a effectivement peu d’habitants, de nombreuses espèces végétales et animales ont réussi à survivre et à s’adapter à des conditions souvent extrêmes.

Hautes-dunes-Namibie-blog-bar-a-voyages

Le plus simple pour gravir les immenses dunes est de suivre les pas de ses prédécesseurs sur l’arrête

Avec pas moins de 2 000 km de long et 100 km de large, le Namib compte aussi les plus hautes dunes du monde. Celles de Sossulvei par exemple peuvent atteindre 300 m de haut. C’est-à-dire l’équivalent de la Tour Eiffel ! Vous imaginez que les grimper à pied relève du défi… Surtout avec la chaleur ! Ces impressionnantes dunes de sable aux couleurs ocre rouge ou blond terminent leur course dans l’océan Atlantique, donnant cette impression de plage interminable… Et désertique ! Cela pourrait être tentant d’y installer sa serviette et de profiter du calme, mais le courant de Benguela, venu de l’Antarctique, empêche la température de l’eau de monter au-delà de 18°C et l’océan foisonnent de requins par endroit. C’est ce courant marin qui explique, en partie, la présence du désert de Namib : les eaux froides ne peuvent s’évaporer correctement pour former des nuages et arroser les terres. CQFD.

avion-Namib-ocean-Namibie-blog-bar-a-voyages

Un tour en avion permet de se rendre compte de l’immensité du désert qui se jette dans l’océan

En plus du Namib, le pays compte d’autres étendues désertiques : argileuses comme le pan de Sossulvei, volcaniques ou rocailleuses comme le Brandberg, salées comme le pan d’Etosha ou semi-arides comme le fameux Kalahari qui recouvre une autre partie du pays.

Une destination de rêve pour les amoureux de la route

Pour circuler, rien de mieux que la voiture de location… ou plutôt un bon 4×4. Car il n’y a quasiment pas de transports en commun en dehors des villes et faire de l’auto-stop relève de l’impossible tant la circulation est faible.

route-aire-picnic-Namibie-blog-bar-a-voyages

Difficile de croire qu’une aire de pique-nique vous attend plus loin… qui plus est à l’ombre d’un arbre !

Ici pas de radars ! Ou en tout cas peu… Ce sont surtout la présence d’animaux et les différents revêtements de la route qui vous feront lever le pied. 90% des voies sont des pistes de sable ou de gravillons (voire de sel, ce qui peut être très glissant lorsqu’il pleut). Évitez aussi de conduire la nuit (beaucoup d’animaux sortent davantage la nuit car il fait plus frais) et on ne les voit vraiment qu’à la dernière minute. En Namibie, on roule à gauche, enfin plutôt au milieu sur les pistes ! Bien qu’elles soient limitées à 100 km/heure (si si !!) restez prudents, car rouler à cette vitesse sur du sable ou des gravillons est plutôt périlleux. Et vu le temps que mettent les secours, il vaut mieux prendre son temps et arriver entier à destination. Un jour, j’ai vu une voiture accidentée dans le fossé dont les passagers étaient blessés. Ils avaient été pris en charge par d’autres automobilistes et attendaient les secours. Je n’ai croisé l’ambulance que plusieurs heures après ! Cela laisse penser qu’il faut une demi-journée voire une journée aux blessés pour être conduits à l’hôpital.

rouler-a-100-Namibie-blog-bar-a-voyages

Cette route dégagée et limitée à 100 km/h donne envie de se lâcher, mais gare aux gravillons !

Attendez-vous à user de la gomme… Pour vous donner une petite idée, en 2 semaines, j’ai parcouru 5 000 km. En parlant de gomme justement, prévoyez un (ou 2 !) pneu(s)/roue(s) de secours et vérifiez toujours l’état des pneus du véhicule que vous louez. En voyant la tête de vos pneus, vous ne serez probablement pas rassurés tellement ils sont usés. Mais sur place, on n’a pas le choix ! L’usure des pneus en Afrique ne correspond pas du tout à nos normes de qualité et aux standards de sécurité exigés chez nous. J’en ai malheureusement fait l’expérience en éclatant un pneu sur la piste de Sossulvei. Heureusement je n’étais pas seule pour le changer. 😉 L’assurance pneus proposée par l’agence de location peut donc parfois être un bon investissement car l’agence nous a facturé NAD$1780 pour le nôtre (soit l’équivalent de 100 €) !

pneu-creve-Namibie-blog-bar-a-voyages

La loose de la fin de journée où comment s’éclater en Namibie !

Bon à savoir :

  • En fin de séjour, votre voiture ne ressemblera probablement qu’à un tas de poussière et les agences demandent à ce que le véhicule soit rendu propre. Si vous voulez éviter de payer un supplément via l’agence, faites le vous-même ou au lavomatic du coin pour une somme dérisoire : comptez NAD$100 pour un nettoyage complet intérieur/extérieur.
  • Côté pratique, ne prenez aucun risque inutile et pensez toujours à faire le plein d’essence et d’eau potable dès que vous en avez l’occasion, en ville ou dans les villages, même si vous n’êtes pas à sec. Un ou deux jerrycans d’essence ne sont pas superflus.
  • Le GPS a parfois du mal à vous localiser et les panneaux indiquant les directions ne sont souvent placés qu’aux intersections (ce qui est déjà pas mal !). Un bon sens de l’orientation est donc vivement recommandé.

Un territoire d’exception pour observer la faune

Terre des plus hostiles de la planète, la Namibie est pourtant une destination de choix pour observer la faune.

Oryx-Namibie-blog-bar-a-voyages

L’oryx est une des nombreuses espèces animales qui a su s’adapter aux conditions extrêmes du désert

Parmi les plus typiques, l’oryx, est l’une des nombreuses bêtes à cornes du pays qui a su s’acclimater aux conditions extrêmes du désert sablonneux. Tout au long de votre parcours vous croiserez de nombreux zèbres, girafes et autruches. Du côté de Walvis Bay l’anglo-saxonne, ce sont les colonies de flamants roses et d’otaries que vous côtoierez.

animaux-walvis-bay-namibie-blog-bar-a-voyages

Otaries, flamands roses, pélicans et même méduses font partie des animaux sauvages que vous pourrez approcher de très près à Walvis Bay

Mais l’un des endroits qui accueille le plus grand nombre d’animaux est le parc d’Etosha, l’une des plus belles réserves animalières sur Terre. Ici vous pourrez observer les « Big Five » (les 5 grands animaux d’Afrique : buffle, lion, léopard, éléphant, rhinocéros). Privilégiez la saison sèche car les animaux doivent se déplacer aux points d’eau pour s’abreuver, ce qui permet de les croiser à coup sûr et aussi parce que les herbes sont moins hautes ce qui rend l’observation plus facile.

zebres-Namibie-blog-bar-a-voyages

c’est le bar à câlins dans la savane du parc d’Etosha

Avec ses 22 275 km2 de savane semi aride, son gigantesque lac salé «Etosha Pan» et ses 114 espèces de mammifères, le parc national Etosha est une merveille où l’on peut se balader librement (mais en restant toujours à l’intérieur de son véhicule par sécurité). Ainsi, mieux vaut éviter l’arrêt pipi dans les buissons pour ne pas se retrouver nez à nez avec un lion ou un rhino?!

Lionne-Namibie-blog-bar-a-voyages

Une lionne allongée sur la route avec une dizaine de ses congénères nous a fascinés un long moment

Un réseau de camps/lodges avec restaurants et sanitaires permet de séjourner à l’intérieur du parc national et de l’explorer en journée. Je vous recommande le Okaukuejo Rest Camp, implanté à côté d’un point d’eau permettant l’observation d’animaux au coucher du soleil ou la nuit (principalement les rhinocéros noirs et blancs, mais aussi d’autres grands mammifères).

elephant-okaukuejo-namibie-blog-bar-a-voyages

Okaukuejo, le spot idéal pour observer les animaux au coucher du soleil

Vous pouvez choisir entre le camping et les chambres en chalets. Si vous dormez dans les chalets individuels (j’avais dormi au n°14), vous trouverez sur votre oreiller une corne de brume pour sonner l’alerte… à utiliser en cas d’attaque… gloups !

signal-alerte-Namibie-blog-bar-a-voyages

A la place du bonbon sur l’oreiller, ici c’est une corne de brume !

Côté pratique :

  • Prévoyez au moins 2 ou 3 jours pour explorer le parc.
  • Il faut acheter un permis pour séjourner dans le parc (environ NAD$ 80 par personne et ajoutez NAD$ 10 par jour pour votre véhicule).
  • La vitesse est limitée à 60 km/heure sur les pistes et les routes à l’intérieur du parc.
  • Le parc est ouvert à des horaires précis. Le soir, il faut être de retour dans votre camp/hôtel avant le coucher du soleil sinon vous êtes passibles d’une amende.
  • Pour préparer votre visite à Etosha, retrouvez toutes les infos utiles sur le site web du parc.

Une terre d’accueil pour les passionnés de géologie et de paysages spectaculaires

Je vous parlais de désert et d’étendues arides, mais la Namibie est aussi faite de reliefs, de trésors géologiques remarquables et de curiosités végétales.

Au sud de la Namibie

Parmi les paysages spectaculaires, l’un des plus impressionnants est très certainement le Fish River Canyon au sud du pays. A le voir en photo, on pourrait le confondre avec son cousin d’Amérique tellement la ressemblance est frappante. Avec ses 160 km, le Fish River Canyon est le plus long d’Afrique et se place en 2ème position mondiale après le Grand Canyon en terme de profondeur et de largeur (550 mètres).

Claire-Fish-River-Canyon-Namibie-blog-bar-a-voyages

Fish River Canyon, j’y étais !

Il faut compter 4 à 5 jours de randonnée pour en parcourir la moitié, le long du lit sablonneux du fleuve, jusqu’aux sources chaudes d’Ais-Ais (signifiant « brûlant » en langue nama). Soit dit en passant, les sources n’ont pas un grand intérêt car les bassins dans lesquels on se baigne ne sont pas des piscines naturelles. Pour accéder au meilleur point de vue sur le canyon, il faut emprunter une route caillouteuse, avec de grosses pierres pointues, où on ne passe bien souvent qu’à une seule voiture.

Sur la route de ou vers Fish River Canyon, je vous recommande de faire une pause déjeuner au Canon Road House (il est aussi possible d’y passer la nuit)  : ambiance relais routier avec des pièces mécaniques, des vieux véhicules et un décor très routard.

Canon-road-house-namibie-blog-bar-a-voyages

La déco du Canon Road House : vieilles voitures, plaques minéralogiques, pubs vintage, pompe à essence et objets en tout genre

Toujours au sud, vous pourrez observer d’étranges arbres endémiques de l’Afrique australe. Les « arbres à carquois », appelés Kokerboom (en afrikaans) ou Quivertrees (en anglais), sont visibles à proximité de la ville de Keetmanshoop (à environ une quinzaine de kilomètres au nord-est de la ville). Cette espèce végétale indigène est classée monument historique depuis les années 50 et ne ressemble à nulle autre. Elle tire son nom de ses branches utilisées par les bushmen chasseurs pour en faire des carquois.

En quittant la forêt de Quivertrees, poursuivez votre route en remontant vers le nord. Sur la plateau central vous ne pourrez pas manquer Brukkaros, l’immense cratère de 2 km de diamètre d’un volcan éteint (1 586 m de hauteur). Ici, vous pourrez voir des formations de quartz dans la roche.

kokerboom-Namibie-blog-bar-a-voyages

Cet arbre de la famille des aloes, peut atteindre 9 m de hauteur

Côté nord

Au nord-ouest du pays, au cœur du massif volcanique du Brandberg (signifiant montagne de feu), se dresse le Königstein (2 573 m), point culminant de la Namibie. Cette région est aussi un haut lieu spirituel pour le peuple San. De nombreuses peintures rupestres de ce peuple y sont visibles, dont la fameuse Dame Blanche, vieille de 2 000 ans.

dame-blanche-namibie-blog-bar-a-voyages

On la distingue à peine au centre de cette composition, mais la Dame Blanche avance d’un pas décidé !

Cette peinture de 40 cm de haut représente un personnage tenant une fleur dans une main, des flèches et un arc dans l’autre, ou en tout cas, çà y ressemble. Sa particularité réside dans sa couleur : des cheveux de couleur claire et la partie inférieure peinte en blanc. La nature de ce personnage est assez controversée et donne lieu à diverses interprétations : homme ou femme ? chaman ou chasseur ? Le mystère plane toujours…

Non loin de là, sur le site archéologique de Twyfelfontein, vous pourrez voir d’autres peintures et près de 2 500 pétroglyphes gravés dans le grès rouge, datant de 3 000 à 6 000 ans. Classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, on peut y observer des éléphants, des lions, des girafes, des rhinocéros mais aussi des otaries taillés dans la roche.

Twyfelfontein-namibie-blog-bar-a-voyages

Déclaré monument national en 1952, le site de Twyfelfontein compte près de 2500 pétroglyphes

Toujours à proximité de Twyfelfontein, au pied de la Montagne Brûlée, une petite gorge renferme une curiosité géologique. Hautes de 4 à 5 mètres, des colonnes de dolérite (basalte), nommées Organ Pipes, se dressent de manière régulière sur une centaine de mètres. Le site n’est pas facile à trouver mais l’accès y est gratuit.

organ-pipes-Namibie-blog-bar-a-voyages

Tels des tuyaux d’orgue, ces colonnes basaltiques vieilles de 120 millions d’années, se dressent à proximité de la piste n°3254

Un peu plus loin, près du village de Khorixas, la forêt pétrifiée est aussi à découvrir. Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, le site est payant (NAD$ 64/personne). Le sol est jonché de troncs de conifères vieux d’environ 260 millions d’années. Certains atteignent 34 m de long et 6 m de circonférence et sont plus ou moins enfouis dans le grès. On distingue nettement l’écorce et les cernes sur les troncs qui raisonnent comme des pierres lorsqu’on les frappe. C’est assez déroutant ! On croirait un décor de cinéma.

Si vous devez séjourner à proximité, je vous recommande de dormir au Xaragu Camp. L’accueil y est excellent et c’est souvent le patron qui cuisine. Et puis vous aurez peut-être la chance d’écouter les chants entonnés par le personnel autour d’une table éclairée par une lampe à huile. Ambiance assurée !

xaragu-camp-namibie-blog-bar-a-voyages

Le Xaragu Camp : une terrasse privative, un abris pour le 4×4, une douche extérieure privée avec eau chauffée au feu de bois… what else ?

D’autres arbres pétrifiés sont à découvrir à Sossulvei, désert de sel et d’argile craquelé, au cœur du désert de Namib. Ici, les acacias noirs de Deadvlei contrastent avec le bleu du ciel, le rouge de la mer de sable alentours et le blanc du sol. Il y règne un silence impressionnant et le paysage est somptueux et fascinant.

sossulvei-namibie-blog-bar-a-voyages

Les acacias pétrifiés de Sossulvei au coeur du désert de Namib

Si vous avez soif d’aventure et de découvertes, je ne saurais que trop vous recommander un petit tour en Namibie. Avec ses paysages variés, à couper le souffle et son patrimoine naturel extraordinaire et spectaculaire, ce pays réserve de belles surprises. Qui a dit que la Namibie était le « pays où il n’y a rien » ?

Pour en savoir plus sur la Namibie, lisez aussi :

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

  1. Un bel article bien complet et détaillé qui (re)donne envie de faire ses valises et découvrir ce pays.
    Je connais bien la Namibie car j’y ai vécu et j’aimerais un jour aller découvrir la Bande de Caprivi dont on parle moins! D’où le nom de mon blog… la girafe qui vole ?
    J’ai pu voir que la crevaison a montré le petit bout de son nez… ca fait partie de l’expérience namibienne ?. Moi j’ai crevé deux fois dans le Damaraland et n’avais plus de roue de secours (d’où parfois à penser à prendre un 4×4 avec deux roues de secours et une voiture plus robuste pour aller dans ces régions aux pistes « surprenantes »). J’ai donc attendu 4 h sous le soleil pour qu’un garagiste vienne a ma rescousse. Pensez donc bien à l’eau comme tu dis dans ton article.
    Mais çà reste quand même de sacrés souvenirs avec du recul ?
    A bientôt

    • Bonjour Marlène et merci pour ce retour d’expérience. Oui, c’est vrai qu’il vaut mieux toujours avoir 2 roues/pneus de secours vu l’état des pistes ! Bien que globalement elles soient bien entretenues… Ce sont plutôt nos véhicules qui sont mal habitués en ne roulant que sur du bitume!? Par contre l’eau et l’essence toujours à dispo dans le véhicule c’est vraiment important!
      Si vous avez d’autres conseils à donner à nos lecteurs n’hésitez pas!

    • Merci Caro, si vous ne connaissez pas encore, j’espère que cela vous aura inspiré pour un prochain voyage 😉 En attendant, si vous avez des questions n’hésitez pas! A bientôt

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.